La diction du dictionnaire,diction dictionnaire,history du dictionaaire,la vente des langues,la-vente-des-langues,histoire du dictionnaire,Diccionario dicción,diccionario dicción,historia de dictionaaire,las lenguas de venta,las ventas-a-idiomas,historia del diccionario

Jean Pierre Gilbert Guingant

La lection de la page lictueuse

 

Sélection délictueuse. On lit le délit, peut-on le délire ? Non, ce n’est point de délires dont il s’agit, ici, juste de dé-lire, faire le contraire de lire. Écouter, entendre, ouïr, percevoir, sentir les mots. Ce chemin est prolifique puisque – à partir de « lection » nous en sommes, déjà, à ce que prédit lection. Le sélecteur efficace. Dont, participe être lecteur de sa propre sélection. S’il lisait mal la prétendue sélection devrait, alors, RÉPARER.

En effet, cette lection n’avait jamais inclus l’élection préalable. Élire dure le temps de lire autre chose de plus convaincu. L’élu n’est pas lu pour la vie, l’élu. Il demeure entre deux livres, deux vivres .Deux vitres, deux givres. D’en rester, ainsi, dans la continuelle ex-spectative met fin au spectacle réceptacle.

Pourquoi écrire ainsi ? Vous écrivez tout vous-mêmes ? Où sont vos sources ? Etc. Réponse d’un des participants du blog http://www.freethewords.org/,:

 

« Nous n’avons aucun modèle, nous ne copions personne. Nous n’avons donc pas à citer ni à faire référence à qui que ce soit. Mais après les aventures des livres que l’on trouve gratuitement sur le site de téléchargements de livres (site cité), livres qui auraient dû (vu leur rareté, leur excellente écriture et leur abondance en nouveaux contenus) être largement publiés – et que nous aurions été donc à même de citer. Ce qui n’a pas été le cas…nous avons pris la décision suivante. Afin de nous rapprocher le plus des consciences nous faisons références à d’autres textes et aux citations. Mais pas en un copiage servile et redondant. Comme Isidore Ducasse et les situationnistes, nous les détournons. En améliorant certaines formulations et en les rendant transformés, etc. Nous n’avons donc absolument pas besoin de ces textes pour formuler notre pensée. C’est l’offrande de terrains de reconnaissance et d’entente plus proches des habitudes communes. En effet, de demeurer dans nos raisonnements neufs et nos nouvelles manières de formuler aurait pu nous isoler des autres. Tout ceci ne vient que de ce que ces livres, essentiels pour comprendre l’époque, n’ont pas été assez diffusés dans l’espace public. A qui ils sont pourtant dévoués. Et que nous ne pouvons pas y faire référence : avec une compréhension immédiate des autres. D’où ce détour par des écrits plus familiers. Ceci signifie donc que la production de textes inédits soit pas la fonction essentielle du blog. Tous les textes sont donc bien écrits à 100 % par nous. ».

 

Après ces éclaircissements nécessaires – reprenons donc le cours de notre grande créativité. La dernière phrase du travail en progression (qui conserve toute les traces visibles et lisibles d’une œuvre qui se crée…) était…« L’élu n’est pas lu pour la vie, l’élu. Il demeure entre deux livres, deux vivres. »…ce qui implique qu’il doive se relire sans cesse. Relire à quoi il s’est engagé sans pouvoir s’en dégager. Il s’est permis (lors des élections) de monopoliser les yeux, les oreilles, le temps de son lecteur électeur – c’est lui l’endetté et nul autre. L’abus des usages sociaux le désigne aux charges non aux profits corrupteurs d’abuser autrui (avant, pendant et après)…autant dire que, depuis des décennies, aucun élu n’a lu ses engagements. Ils doivent tous rendre des comptes : l’électeur lecteur est resté le débiteur. Autant dire que les dettes des hommes publics (politiques, médiatiques et financiers) à leur égard est devenue bien plus énorme que celle de la Grèce. Même des U.S.A. Des biens sociaux ils ont exagérément abusé. Et ceci est puni par la loi. Comme les ententes préalables – nommées ententes illicites***² dont ils furent, nettement, les dealers. Débits de saveurs. Débits de dictions. Débits d’ordinateurs, à bits rabattus. Tout y est préférences et attraits : la dilection s’oppose alors à l’élection. C’est aux vrais écrivains que ces personnages doivent le plus. Endettés jusqu’au cou !!!

………………………………………..****

Lisarts et lisons. Liserons des relisons les lisons. La lise de la boue des origines même. Écrire en direct, en toute première ligne de la création – c’est bien détenir l’ACTUALITÉ de la société. Non celle qui se montre avec « montage » (donc trucages et manipulations) – et dont le texte « légendé » ne sait jamais décrire l’image. Mais le TEXTE qui construit, chaque jour, la société (l’image, la plupart du temps, étant là pour brouiller , embrouiller et égarer…). Que l’écrivain soit tout de lecture de la « lise » originelle pour sa transmutation en or des mots – ne s’oublie pas dans le lit. Car qui lit le lit ? Ou, plutôt, que lit le lit ? Et qui en rend vraiment compte – le lit étant ce livre qui aura trouvé, quoi donc ? Qui est-ce qui relie et lie tout : sans compréhension du sens « actuel » la société n’est rien. Ce pourquoi son putsch plus qu’illégal contre les vrais penseurs et les vrais écrivains – produit le chaos insensé et toute la pagaille actuelle. En étant à la source incohérente les prétendus élites en sont seules (et à 99 %) responsables !!! Ils ne possèdent absolument pas la…dilection des écrivains. Cette lection d’une autre forme d’élection. Vrais écrivains dont l’absence sociale est devenue un cruel manque : nous en souffrons toutes et tous !!!

Parcourons-le donc.

De quoi parle le Parlement ? Le Parlement pour parlementer mais de quoi ? Qui nous parle de ce qui se passe maintenant ? Toujours drogués à de lointains passés, à des théories obsolètes ou à des insensibilités qui rendent si ABSENTS à la vie réelle. Pas à douter seul l’écrivain reste «en phase directe » !!! Écouter : déclarer la paix, apaiser la paix, signer l’hémistiche de l’armistice, déposer les armements, le repos des armes, la fin des larmes, l’extinction des alarmes, etc. – tout ceci c’est pourparler infiniment. La Paix c’est pour parler : un pourparler permanent. La régression anti-civilisée nommée guerre c’est pour EMPÊCHER de parler. Le politique est là pour se dresser face à la guerre. Qu’elle soit économique ou non – le politique c’est la paix qui accuse les fauteurs de guerres. Et ne s’en font surtout pas les amis. Les deux exemples opposés de Jean Jaurès et de Gaulle scandent comment est le « vrai » homme politique. S’appuyant toujours sur les mots***. Et ceux qui savent les employer et les surpasser toujours. Tout le contraire d’aujourd’hui. L’illégale prise de pouvoir des journalistes, chevaux de Troie du putsch commercial sur l’époque, aura COMMENCÉE par mettre sur la touche 1) les vrais écrivains 2) les penseurs transversaux, ces irremplaçables multidisciplinaires 3) les scientifiques (oui que en 3) 4) les honnêtes commerçants et les banquiers probes 5) les politiques. Et, pourtant, le politique est assujetti aux fonctions de paroles et d’écriture. Ne serait-ce que parce que le Droit est un TEXTE***². Nulle image à montrer – c’est l’écriture, sa jurisprudence et son fonctionnement plus lent.

*** et les palabres sont des palabras (paroles et mots, en espagnol). Puisque parlementer c’est paroles et mots. Tout est donc limpide chez les mots !!!

…………………………………………..***

Tout comme le Parlement ne fait référence qu’au langage – à ce ciment social qui a plus de valeur que l’argent – le réel dirigeant n’est qu’éloge des mots. C’est qu’il doit dire. Diriger c’est dire, avant tout. Dire la direction (ce qui doit se…dire pour montrer le sens et le…donner). La direction du quoi faire ensemble. Comment vivre ensembles. Et donc sûrement pas la flagrante bêtise ( et donc bestialité) des guerres. Comment l’on découd tous les « liens » sociaux, le tissu social saccagé. Où nul-le ne vit jamais de vivre « en bonne intelligence ». De s’entendre donc de s’entendre, aussi, grâce aux mots. Donc aux vrais écrivains.

Et, effectivement, tout ce qui est Civil-isé ne parle que de lire, d’écrire, de parler, de s’entendre, de pourparler, de parole, de langage.

Tout ce qui, par contre, appartient à la régression sauvage se montre comment voulant tout taire, faire taire. Tout doit verser à l’adverse, renverser l’humain et perverser le « sentiment » d’humanité. . De renverser donc ce qui conversait et convergeait vers l’entente (celle où l’on s’entend fort bien justement). Soit la bonne intelligence, l’art de l’écoute, la fraternité et ses ternités, etc. La guerre cela aura juste été les assauts infantiles et puérils contre ce que la parole et le langage créent. Au fil du temps, des jours, et des siècles de traditions. Traditions en extraditions. Le fil du temps qui aura cousu tout le tissu social. La guerre est analphabète et veut le rester. Le handicap absolu de ne pas savoir articuler. Et donc de n’être ingénieur de rien, de qui articule toutes les articulations fines des machineries. Comme de qui connaît à fond la diction du dictionnaire. Et a donc, déjà, des siècles d’avance sur les prétendus dirigeants. Sans dire ni loi. Ne sachant rien articuler (et ne voulant rien apprendre) la guerre n’éructe que des cris sommaires et primaires, que de l’insensé et partout, visiblement, que du forcené de la force née. Son délire psychiatrisable c‘est – en la pulsation d’une seconde secondaire – d’effacer tout langage, toute éducation, toute parole, tout acte de parlementer, toute sagesse, toute pensée comme toute…civilisation. Ce pourquoi nulle guerre peut être dite de civilisation : ce serait opposer deux civil-isés (oui ces civils qui ne font jamais la pire que répréhensible guerre – mais en sont les dégâts collatéraux – c’est quoi le dégât central alors ? Sinon d’empêcher la société de vivre en…société).

La guerre comme le refus enfantin de la civil-isation. Et de…la sagesse des mots. Donc des rebelles acéphales, des insurgés antisociaux, ceux qui refusent, barbarement, tout savoir, des fauteurs de troubles, etc qui doivent bien être annihilés. Aucun adulte véritable, aucun non pervers ne peut, en effet, « croire » que la guerre résout tout lorsqu’elle est le PROBLÈME même qui refuse d’être résolu…

………………………………………….***

Le responsable de respons, vieux mot français pour…répondre, et able de cap-able, apte à, désigné pour…donc apte à répondre. Ce qui l’oblige donc à rendre des comptes, répondre sur tout…fuit oui fuit (pour des fauteurs de guerres n’est ce pas farfelu ?)…fuit toutes responsabilités

Donc tout langage, toute écriture, comme toute parole sociale…

Et la boucle est bouclée – ces dirigeants auront été ceux du diktat « on ne publie pas les génies » (depuis 40 ans facile de vérifier)…et nul se demande plus pourquoi. L’AVEU est clair – le vrai écrivain reste la conscience anti-corruptrice…

Les dirigeants auront trahi (bien au-delà de l’image) les mots, donc le pacte social…

…ce sont les mots qui vont les annuler, quoi qu’ils fassent !!!

…………………….Par la lection des pages lictueuses

1) ***²

http://www.forgottenbooks.com/readbook_text/Questions_Sociales_1200064611/201

coalitions délictueuses

2) ***²

http://www.cnrtl.fr/definition/lisotter

lisotter

…toujours dans la rubrique : “Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?”

Que le vaste humour vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

(à suivre)

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 1 “Les mamelles du repos”, “Remue- ménage” et “L’athéâtre”, onglet 2 “Comment devenir un (e) athée du capitalisme” ou bien “L’intelligence indestructible du capitalisme ?” et “La star des stars”, “L’ardeur sociale” ou, encore, “Présent !”, onglet 3 “La diction du dictionnaire” ou comment rendre tous les mots physiques”, et “Rien de plus solide que le solidaire”, sinon, onglet 4 “Où trouver encore du sérieux ?”, “Nul n’est nul”, “Je ne parle plus à qui a raison” ou bien, encore, “Assentiments aux sentiments”.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l’économie.

La prospérité c’est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ?

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 3 800 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C’est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

lictueuses

lictueuses

6 septembre, 2016

La lection de la page lictueuse

  Sélection délictueuse. On lit le délit, peut-on le délire ? Non, ce n’est point de délires dont il s’agit, ici, juste de dé-lire, faire le […]
6 septembre, 2016

Comment sans nom…nommer ?

Les noms sont-ils des mots ? Et pourquoi, alors, ne disons-nous pas motés puisque nous disons…nommés. Oui nom-mer : donner un nom. Tout ce qui est […]